Évade-toi vers l’inconnu avec ce tout nouveau livre de Benoit Picard

Voyager est sans aucun doute l’une des expériences les plus enrichissantes et stimulantes que l’on puisse vivre sur cette terre. Cela nous permet de découvrir de nouveaux horizons et de s’imprégner, ne serait-ce qu’un moment, d’une culture étrangère ou parfois même quelque peu familière. Que ce soit du côté de la nourriture, de la langue, des divers paysages qui nous entourent, tous semblent être sous le thème de la nouveauté.

Partir à l’étranger est aussi un moment pour faire une introspection sur sa vie et sur soi-même. Ceux-ci sont les thèmes qu’aborde l’auteur Benoit Picard, avec qui j’ai eu le plaisir de m’entretenir à l’occasion de la sortie de son tout premier livre « Aller simple pour l’inconnu ». Un roman de style chick lit qui te procura le sentiment de voyager et cela dans le confort de ton chez toi.  


Aller simple pour l’inconnu raconte l’histoire de Rosalie Bouchard, 29 ans, lassée de son quotidien et de la pression sociale que l’on impose aux femmes, décide de tout quitter pour aller parcourir le monde avec sa meilleure amie Clara. En quête de réponses, de liberté et d’absolue, Rosalie s’embarque dans une aventure remplie de rebondissements, d’imprévus, de bonheurs, d’angoisses et, bien entendu, de nouvelles rencontres, dont Liam…

Bref, un vrai voyage!

Dans le contexte de la pandémie, cet amoureux du voyage et de l’écriture, Benoit Picard, voulait mettre sur papier le sentiment d’être à l’étranger et de le partager à ses lecteurs :

« Pour moi, c’est l’évasion du quotidien et de découvrir des nouvelles choses, des nouvelles cultures, des nouvelles personnes. Voir ce qui se fait ailleurs. C’est vraiment ouvrir les horizons des lecteurs. Et ceux qui ont déjà voyagé, réussir à les faire partir et d’avoir l’impression d’être sur la route. »


Mais Benoit Picard voulait également raconter certaines réalités des voyages, c’est-à-dire les péripéties et les embuches que l’on rencontre tous à l’étranger, qui nous paraissent parfois si dramatiques et angoissants sur le moment, mais qui s’estompent avec le recul. Des histoires qui nous marquent à jamais et qui, avec le temps, nous font apprécier davantage notre expérience à l’étranger. Un côté de la médaille que l’on voit que très rarement chez nos influenceurs ou dans les médias en général, raconté ici avec humour et légèreté.

Et bien qu’Aller simple pour l’inconnu soit quelque peu basé sur ses propres expériences en voyage, Benoit Picard s’est d’abord inspiré des femmes de sa vie afin de construire des personnages féminins, réalistes et humaines : « Rosalie et Clara sont des femmes indépendantes. J’ai beaucoup de femmes fortes autour de moi, ma mère, ma belle-mère, ma conjointe. »

Quoique ce chick lit soit une œuvre dédiée principalement à un public féminin, Benoit Picard admet ne pas avoir choisi ce style délibérément, mais plutôt de s’être laissé guider par l’inspiration et ses personnages.

Et lorsque je lui ai demandé comment il avait trouvé son expérience en tant qu’homme d’écrire avec un point de vue de femme et pour des femmes, celui-ci m’a répondu : « comme Rosalie se cherche, c’est quand même des thèmes universels qui reviennent, que ce soit pour un homme ou pour une femme (…) Rosalie et Clara ont des perceptions pas toujours reluisantes des gars. Et c’est un peu un message aux gars de ma génération. Je trouve ça important qu’il y est des auteurs masculins qui osent en parler pour dire qu’il y a aussi des hommes qui pensent ça. Et j’ai ma conjointe qui l’a lu, qui m’a guidé aussi et j’ai été entouré par une équipe féminine. »


Présenté par la maison d’édition Hurtubise, ce roman est idéal pour tous ceux et celles qui désirent s’évader de sa vie de tous les jours, qui rêve de voyager à travers le monde ou qui est, tout simplement, en quête de soi-même. Aller simple pour l’inconnu est maintenant disponible dans toutes les librairies au Québec.


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