Le World Press Photo débute demain au Marché Bonsecours!

Je vais toujours me souvenir d’une journée de septembre, le temps était frais et j’avais un cours de science politique au Cégep (définitivement pas mon préféré à l’époque). Au programme, nous allions faire la visite du World Press Photo Montréal.

Je vais toujours m’en souvenir, parce que les images que j’ai vues était tout simplement à couper le souffle. Pas seulement à cause de leur beauté visuelle, mais aussi pour le message qu’elles véhiculaient. Si tu n’as pas encore eu la chance d’y assister, c’est ton année! Eh oui, l’Expo World Press Photo Montréal revient cette année au Marché Bonsecours après une absence de deux ans dû à la pandémie et j’en suis si heureuse! Tu as du 31 août au 2 octobre 2022 pour y aller!


Le meilleur du photojournalisme

Cet événement emblématique de la rentrée culturelle montréalaise prend place chaque année dans le Vieux-Port de Montréal. L’histoire derrière le World Press Photo débute en 1955 lorsqu’un groupe de photographes néerlandais décident d’organiser un concours international dans le but d’exposer leur travail au monde entier. Aujourd’hui, la Fondation travaille de leurs bureaux à Amsterdam et elle agit à titre d’organisation à but non-lucratif.

Comme on le sait déjà, le monde dans lequel nous vivons ne cesse de changer. Avec les nouvelles technologies qui ont transformé le journalisme, la mission du World Press Photo s’est élargie pour guider les journalistes visuels et les spectateurs à travers les images qui reflètent notre monde.

« Our purpose is to connect the world to the stories that matter. » – World Press Photo


Ikwewak (Femmes)

Cette année, c’est l’artiste Caroline Monnet qui sera la porte-parole officielle de l’événement. Celle-ci présentera aussi son exposition Ikwewak (Femmes) aux côtés des photographies lauréates du World Press Photo aussi considéré comme les Oscars des photographies de presse.

L’exposition Femmes regroupe des photographies qui mettent en scène des femmes des Premières Nations qui se libèrent du regard européen historique en s’appuyant sur la tradition et en prenant la place qui leur revient dans la société. L’artiste née d’une mère anishinaabe et d’un père français dépeint « la femme indigène dans toute sa splendeur, ses bizarreries, son élégance, sa fierté et son charisme. » Caroline Monnet


Ces images qui valent mille mots

Même si certaines photographies peuvent nous faire ressentir de la tristesse ou de la colère, plusieurs clichés nous donnent de l’espoir envers l’humanité. En attendant le grand jour, voici quelques photographies qui me touchent particulièrement.


Quelques informations pratiques

Les billets sont au coût de :

  • 14,75$ + taxes pour l’admission régulière
  • 12,75$ + taxes pour les étudiants et les aînés
  • Gratuit pour les moins de 12 ans

Ils seront disponibles à l’entrée de l’Expo World Press Photo Montréal au Marché Bonsecours.

Pour plus d’informations, c’est juste ici.

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